Rebelote...
Publié le 19 Mars 2007
Jeudi, en rentrant de la crèche je te trouve bien chaude. Papa, le pro du thermo, arrive et le verdict tombe : 39°... On hésite à prendre la route pour la campagne mais en même temps, ce sera plus facile d'aller voir un médecin vendredi matin à Champagney plutôt qu'à Paris, vu que les pédiatres ne reçoivent pas le matin et que j'ai moyennement envie de te trimballer dans le métro dans ton état.
Après une nuit assez mouvementée, je suis sûre que tu refais une otite. Une par mois en ce moment et à chaque fois qu'on part! Tout ça parce que tu ne veux pas qu'on aille manger de la tarte à la myrtille! (et oui, ça n'a pas été pour cette fois, les oreilles de Nina n'auraient pas apprécié la montagne...)
Le docteur nous annonce donc une otite, une angine, une rhino et par dessus tout ça, la confirmation de la percée des canines, les dents les plus douloureuses à sortir. Maintenant quand je te demande où tu as bobo, tu me montres. Au moins, on peut tout de suite t'éviter la douleur avec ce cher Advil que tu adores et que tu réclames!
Malgré tout ça, dès que le traitement eu commencé, tu as retrouvé une pèche d'enfer et tu n'es pas arrêté du week end. Déchaînée, la Nina, une vraie tornade. Des siestes riquiqui en dépit des nuits agitées et courtes (surtout pour moi!) et un entrain à jouer incroyable. Tu as pu profiter du beau temps vendredi et samedi. Dimanche, c'était vraiment trop pourri. Odile t'as gardé samedi après-midi et tu as été super adorable. Pendant ce temps, nous on a dévalisé les boutiques de Belfort et ton papa t'as ramené deux nouveaux copains, un labrador en peluche géant de deux fois ta taille et une tortue géante qui elle, est restée à
Tu as dansé, tu m'as arraché les cheveux, tu as mangé du lard, tu as joué avec des chats, tu as joué au ballon (une vraie footeuse!), tu as vu les escargots et tu as bien profité des tes parents!
Tu vas beaucoup mieux mais les dents, il paraît que ça va durer encore un peu. C'est la première fois que tu as aussi mal, les dents d'avant sont sorties presque sans douleurs et là, c'est une autre paire de manches. Quand tu es en crise au milieu de la nuit, c'est dur de te calmer ma poussine, vivement qu'elles sortent...car même si je suis contente de te faire des câlins en pleine nuit, je serais encore plus contente que tu dormes mieux et donc que tu ne souffres plus...